Oh mal de crane & lendemain de fête

Je me souviens de cette musique qui me frappe à l'esprit, tout va à 1ookm/h, dut moins dans mon esprit, car je le sais, rien de tout ça n'est vrai. Enfin si c'est vrai, mais c'est du passé. Je suis dans un rêve de souvenir dirons nous. La fête était ... incroyable, moi même qui suis si peu sociable, j'ai réussi à rire m'amuser, avec des gens de mon lycée. Bon pas que je suis insociable hien !! Mais disons qu'il y a mieux, pour ne pas dire beaucoup mieux. Le centre commercial, on l'avait dévallisé, l'alcool, on l'avait engloutie. & après ? Bahh après grand trou noir, si mon rêve me montre une image floue, un adulte, il porte des lunettes de soleil, mais c'est un abruti* où quoi ? Il fait nuit à quoi bon des lunettes de soleil, & je suis la seule dans cette voiture je n'aime pas trop ça. Il me parle, de quoi ça j'en sais rien, en faite je veux qu'une chose, je l'appelle depuis au moins 3o minutes, je veux serrer contre moi mon merveilleux Nicolas. Il n'y a pas meilleur petit frère au monde, & j'ai tellement hate qu'il soit guérit. Bon par contre ma mère elle j'ai pas franchement envie de la voir, pas que je ne l'aime pas, non avant quand j'étais enfant j'étais très complice, mais depuis que papa est partie loin de nous, elle c'est que trop laisser aller. A il me dépose dans mes rêves, ma maison me parrait étrangement flou & ... difforme, vous êtes sure qu'elle est stable ? Non car là un coup de vent & elle s'éffondre! Surement un jeux de l'alcool, je ne savais pas que cela pouvait avoir autant d'effet. D'ailleur je ressens une douleur à l'arrière de ma tête. Oh vite il faut que j'ouvre la porte.

J'ouvre les yeux, la lumières est trop violente avais-je donc oublié de fermer ses fichu volet dans ma chambre. Je me retourne, et soudain me rend compte que mon oreiller est beaucoup plus plat & ... dur ? Ah & le poid de mes draps n'est pas sur moi non plus, pourquoi je ne le ressens pas ? C'est étrange. Mais une autre chose me tracasse, je ressens deux douleurs, une à ma tête qui me parrait pas inhabituelle, il faut s'y attendre après une tel cuite, & pourtant elle me parrait pas si tortureux ce mal de crane, c'est mon épaule droite qui est affreusement douloureuse, qu'est ce que j'avais fait bordel ? Je réouvre les yeux, fixant directement mon épaule, & mes pupilles verte s'arrondirent incroyablement vite. Putain de bordel de merd* ! C'est quoi se code de barre à deux balles ? Comment je me suis fait ça ? Il n'y avait aucun tatoueur dans les parages . Tiens en parlant d'environ il n'y avait rien qui ressemble à ma chambre ici. Je me relève alors les sens en alerte, où suis-je ? Non c'est pas possible, comment pouvais-je me trouver dans en tel endroit. Je me met debout quittant ce qui lui servait de lit, un vertige violent me prend, il me fait tourner la tête, et me donne envie de vomir. Mais ma moral est plus puissante que tout, je ne me laisse pas abbatre, & me reprend vite fait bien fait, quittant cette pièce, sur lequel mes yeux ne s'attadèrent pas plus longtemps. Il faut que je trouves une sortie & vite. Où suis-je ? Je rêves encore ?

Tout d'un coup j'arrive dans un lieu incroyable, c'est immense & éclairer. Des esclaier fille vers l'est, l'ouest, le nord & derrière elle, le sud. Il y a des bureaux, avec des lettres, & des ordinateurs. En faite, j'ai très vite comprit que je ne suis pas franchement dans un endroit où ma mère m'aurait donner l'autorisation d'y aller. Pour une fois, je l'aurais écouter.

Bordel de merde ! Voici la seule phrase je suis capable de prononcer à l'heure d'aujourd'hui.

La plus grande peur de l'homme reste l'inconnue

Je ne me souvenais pas de l'endroit où j'étais hier, enfin pour être tout à fait franche j'en avais que faire alors... J'étais une fille, je suis toujours, une fille populaire, aimant se montrer, faire la fête, plaire, comme j'avais plus hier, tant de garçon, tant de numéros échanger...Facile, tellement facile. Des regards, des sourire complices et appuyés, je gardais un vifs souvenirs mais de la fête en elle même... Il fallait dire que j'avais abusé . Je n'étais pas une grosse buveuse et pourtant cette nuit ci comme j'avais bu, mélangeant des liqueurs que je n'aurais jamais osé acheté même si mon pére me l'avait explicitement ordonné. Mais il était tellement facile de boire quand on avait l'esprit anéantit, le coeur lourd.

J'étais devenue veuve et orpheline en moins d'un mois, aussi quand j'avais reçu cette lettre, j'avais bombis sur l'occassion, une fête. j'adorais danser, m'amuser, c'était se dont j'avais le plus besoin je le sentais. Mais maintenant, allongée sur un lit beaucoup trop dure pour être le miens, je reprenais peu à peu conscience, ouvrant mes paupiéres jusqu'a présent fermées, émergeant d'un sommeil qui avait du être lourd. Ma tête me tournait, rien d'étonnant, j'avais sans doute ce que l'on appelait courement "la gueule de bois". Je massais avec ferveur mon cuire chevelu, mon crâne ne m'avait jamais semblait aussi fragile ni aussi sensible. M'étais-je donc cogner la tête ? Enfin la lumiére qui m'entourait, ne m'aveuglait plus, et je pus voire l'endroit où j'étais. Si dans mon demi-sommeil inconscient je ne m'étais pas inquiété outre mesure de sentir un lit différent du mien comme soutient de mon pauvre dos enquilosé, c'était dorénavant tout à fait différent.

Agarde, je me levais d'un bond, tournant sur moi même comme une bête en cage dans cette chambre inconnue sommairement meublé. Je constata que j'avais été étendue (maintenant je ne me rappelais pas m'être couché...) sur le lit du bas d'un lit double plaçe. Qui occupait le second ? Etais-ce cette personne qui m'avait enmené ici ? Pourquoi ? Où étais-je ? Tant de questions se bousculaient à mon esprit au combien douloureux. Le meubilier était du reste restreint est se limiter en une table en bois, un lavabos, deux chaise, pas de fênetre, pas de cadres, rien....

Mon premier reflexe fut de me précipiter vers la porte. Me jetant presque deçu , d'un mouvement brusque du bras j'attrapa la poignet. Ce mouvement m'arracha un cri de douleur et je ramenais faire moi mon épaule droite douloureuse, qui me semblait me bruler au fer rouge. Serrant les dents de colére, je me contorsionnais pour essayer de voir ce que j'avais....

Merde !

Jurerai-je, apperçevant enfin la cause e cette douleur. Un code barre ornait ma chair et autant que je pouvais en juger il s'agit d'un tatouage qui avait l'air oun peu plus vraie. Avais-je fais la bêtise de me tatouer durant mon état lubrique ?

Non.

Certes non, je détestais souffrir et m'abimer la peau, je ne voyais pas comment cette idée aurait pu me venir en tête, combien même j'aurais été saoul. Cherchant de toutes mes forçes dans mes maigres souvenirs, je ne pus rien tirer de plus qu'un mal de crâne plus vivace.

Tant pis j'y réfléchirai demain...

Fis-je à haute voix, tout en remarquant que la porte que j'avais tirée n'était pas fermée, poussant un soupir soulagée, je me figurais déjà une bonne blague, une farçe qu'on avait voulut me faire. Et pourtant ce que je vis, était loin d'être une blague. En vus de tout ces escaliers et de l'immencité de ce hall, je venais de me rendre compte que jamais je ne sortirai d'ici....

Et si je n'avais pas remarqué cette fille brune, qui comtemplait elle aussi cet immencité, je me serais surment écroulé de larmes. N'osant lui parler, j'approchait cependant.

Mon souffle battait à tout rompre, que se passait-il . Je voyais les objets, des bureaux entourée par des mur, une ligne au sol devant chacun d'eux, quelque chose d'écrit en petit, j'étais placé trop haute pour voir. J'étais en hauteur, & tout ceci était ettoufant. Pourtant je respirait à une allure de panique, il faut que je me reprenne, il faut que je me calme. Il y a toujours une solution à toute chose. Cherche trouve, regarde observe, LA solution est sous ton nez, sinon c'est qu'il y à un problème. ... un très gros problème même. Qu'ai-je fais pour mériter tout ça ? Il y avait un silence de mort dans les couloirs, non dans le hall, enfin je ne sais pas si c'est un hall, je ne sais même pas où je suis. Mais une chose est sur, je suis passé de deux douleurs à trois douleurs.La troisième était mon coeur, qui aurait put sortir de ma poitrine me fracassant les côtes aux passages. Je regarde encore, jusqu'à ce que je vois au loins une fille.

Mon esprit fait des flash, le passé & le présent se mélange. Elle est brune, sa peau est blanche et porte des vêtements hors prix, j'ai l'impression de l'avoir déjà vu, & pourtant, elle me semble étrangère. Un autre flash me prend, je me baisse à genoux tellement le mal de crane qui suit se fait intense. La fête est là, oui mes amis aussi son là, nous sommes cinq pour le moment, un de mes ami regarde une fille depuis au bien 1o minutes, je m'approches doucement de lui & le regarde amusé. FInalement il détourne les yeux, car la jeune roche avait déjà trouvé une cible, où disons plusieur cible, elle avait aux moins ramasser 1o à 2o papiers avec des numéros de téléphone différent. Le seule mot qui venait à l'esprit de Lyra & ses amis devant un tel comportement "pouf en manque de bande !" A c'est une phrase désolé. Les escalier se redessine devant moi, les bureaux aussi, mes bras son douleureux, mes mains se teignes à la barre, & mon épaules droite me torture, il faut que je trouve de la morphine. Je me relève pourtant & regarde là jeune fille. Elle approchaine & semblait aussi perdu que moi. Je ne savais que trop dire, ce n'est pas moi qui commençait les discours, je ne suis pas sociable. ... enfin là maintenant tout de suite, j'ai envie d'être insociable & de me casser. Mais finalement la raison prend le dessus, car un truc m'intresse, un code barre graver sur une épaule droite autre que la mienne ... la sienne.

Me dit pas qu'on à été chez le même tatoueur. Répliquais-je doucement.

La jeune fille brune s'était retourné. Grande, le visage banal, seulement remarquable par deux yeux verts aussi beau que les miens. Je l'observais durant un long moment, elle me disait quelque chose, non je ne le connaissais rien, à moins bien sur que je ne l'ai croiser à cette maudite fête. Maudite fête, voila un surnom bien donné pour une fête que j'avais pourtant tant apprécié. Agacée de ne pas arriver à resituer ce visage insipide mais pourtant irritant (selon moi), , je portais mon regard sur l'étendue au devant de nous. Enfin de moi, je n'allais pas impliquer cette inconnue, quoique peut-être pourrait-elle m'éclairer sur...

De toute évidence non, elle était tout aussi pommé que moi pour faire une remarque aussi débile ou alors l'était-elle. C'était à méditer, je fronçai les sourcils, tandis que j'arrivais enfin à ressituer ce visage méprissant. Elle fessait partit de ce groupe de prétencieux dans lequel un débile n'arretait pas de baver devant elle, cela l'avait beaucoup amusé, jusqu'a ce qu'elle ne les entendent la traiter de "pouf", pour qui se prenaient-ils ?

Heureusement je n'oublais jamais un visage ennemi, c'était pratique. Mais même si je brulai de retorquer ciniquement une réplique quand je me souviens un vieux précepte de mon défunt mari (que dieu a son âme), avait apprit dans l'art de la guerre. Garde tes amis prochent de toi mais tes ennemis encore plus proche.

Me compossant un sourire, qui était au combien hipocryte,je pris la voix la moins hautaine qui m'étais possible, enfin que voulez vous, je n'étais pas non plus du même niveau que cette fille....

Tu étais à cette fête toi aussi....

Ja la regarde un moment septique, elle semblait réfléchir, a merd* elle sait refléchir, ça va rendre les choses un peu plus complexe ... enfin faudrait-il déjà savoir dans qu'elle situation, je suis ! Elle pas que je l'aime pas, mais disons que pour le moment elle est aussi inutile que moi. Oui moi aussi je suis inutile là maintenant, je ne sais pas où je suis & pourquoi je suis ici. Au moins je sais qui je suis ... quoi que je me demande si j'aurais pas mieux fait d'oublier. Finalement, je fait un grand vide dans ma tête, il faut que je n'ai plus franchement d'avie sur elle, mais je ne veux pas en avoir non plus. Je l'observe, l'écoute, & par la suite soupsonne son comportement. Là ses yeux semblent un peu perdu, & à son expression genre trente seconde plus tard, je vois qu'elle se souvient de moi ... & pas enbon souvenir. Comme à chaque fois avec mes première rencontre, mais ça je m'en fiche sincèrement. Mais apparement son comportement n'avais pas évoluer depuis la fête. Je n'ai pas envie de la regarder trop longtemps, je l'écoute, mais regarde ce qu'il y à autour de moi. Un moment je l'observe, un sourire ce dessins sur ses lèvres rosées.

Ce qu'elle ne sait pas, c'est que moi on ma fait les pires ordures, au monde, donc au final , tout ce qui était comédie, je m'y connaissais à la fin, sûrement pour ça que j'avais un sacré franc parlé. Elle essayait de mamadouer apparement... alors elle était mal partie, je suis du genre méfiante & on pourrait marquer sur mon front "attention chienne méchante". Son ton me donnait envie de vomir, finalement je repporte mon attention sur elle, je me retient de lui rire à la figure. Quoi je peux rire dans une tel situation ? Excuse moi mais après la perte de mon père, & me voila maintenant loin de mon frère je pouvais que rire... ce qui ce passe là n'est qu'un rêve ... non ?
Pas la peine de faire la comédie avec moi ! Répliquais-je alors d'un ton neutre, car effectivement je n'avais pas envie de trop m'attarder sur la tromperie & l'hypocrisie, si elle voulait sortir, va pas falloir qu'elle joue un rôle, où alors on est mal partie.

Je ne sais pas si elle me regarde où non , en faite je décide de descendre les escaliers, il fallait que je sache un peu plus sur ses lieux. Où suis-je ? Tel était la question, oui je deux découvrire où je suis , si ça se trouve je suis près d'un lieux que je connais par coeur. De toute façon en une nuit on à pas put m'emporter loin ... mais ais-je dormis qu'une nuit au moins ? Je ne préfère pas y penser pour le moment. Là maintenant je me demande aussi pourquoi une personne de la fête était là aussi ... sommes nous que toutes les deux dans se trou à embroui**e ? Si c'était le cas, sûrement qu'une troisième guerre mondiale se préparait. Les esclaiers sont en verre, on voit que le batiment et neuf, & qu'il n'a jamais servit. Je continue à descendre les escaliers doucement regardant tout autour de moi, mémorisant essayant de me souvenir d'un lieu proche à celui-ci. Mais rien me revient en tête.

*Fichtre, maligne en plus de ça. Enfin le combat n'en serait que plus interressant*.

Pensais-je avec un sourire en la regardant descendre les escaliers, en même temps ne me trompais-je pas d'adversaire ? Un frisson me parcourut l'égine alors que je regardais autour de moi, tout ses bureau, toutes ces lettres... L'endroit était grand, vaste, ressemblant étrangement à ces laboratoires d'expériences scientifiques, connus secrétements mais officiellement démentit.

Des brides d'articles que j'avais lus dans des magazines me revinrent en mémoire sous formes de mots clefs : "expérience de clonage", "génome humain", déontologie"... Des articles de journalistes douteux dans des magazines peu sérieux lus au hasard dans un salon de coiffure, et pourtant l'endroit ne se pretait-il pas ? Et le faite que nous soyons marqués... comme des bêtes !

Mes yeux s'agrandirent, la jeune fille insipide et beaucoup trop maligne dont je ne connaissais toujours pas l'identité m'importait peu tout un coup... Elle n'était pas l'ennemie. Je devais sortir au plus vite. Une peur irrationelle s'était ancrée en moi. Bondissant en avant je descendit à toute hate l'escalier face à moi, sans même prendre la peine de regarder autour de moi, je ne comptais pas m'attarder.

La respiration haletante, le coeur affolée, je fahi bien trébuché sur la derniére marche, heureusement je parvins à retrouver mon équilibre et à me dirigerde maniére plus calme vers un burea. Aprés tout, les lettres devaient bien avoir un destinataire, une adresse, quelque chose qui nous indiqueraient où nous sommes.

Le calme était roi dans cette pièce, & la peur était sa compagne. C'était une reine redoutable, et incroyblement forte. On ne la controle pas, & on ne sait pas ce qu'elle représente ici. Je le sens elle est présente, une pression monte, mon coeur essaye de la faire pénétré en moi. Mais mon self control tiens le dessus pour le moment. Je ne sais pas comment j'y arrive, sûrement mes années d'entrainement au Judos & autres sports comme ça. Je remercie une fois encore mon père qui ma initier à tout ça. Je crois que de toute façon je ne le remercirais jamais assez pour tout ce qu'il m'a apporter au part avant. Je respire un grand coup, descendant toujours doucement les escaliers.

Tout d'un coup, une respiration se fait rapide, la peur à prit le controle de miss fête. Je ne cherche pas à la rassurer, apparement ici, ça ne vaudrait rien. Je le comprend que trop vite. Où son les caméras caché finalement ? Ce à laquel par contre je m'attendais pas, c'est d'entendre des pas précipité dans les escaliers. Je me retourne prette à riposter, mais je n'ai rien à faire, la jeune brunette est trop paniqué, elle ne compte pas à m'attaquer, non elle est comme moi elle veut sortir. Elle court dans les escaliers comme une tarée avec ses talons, & manque de se planter la figure contre le sol à la dernière marche de l'escalier. En temps normal j'aurais rit ! Mais là, je la comprend un peu. Elle se précipite vers les bureaux que maintenant de plus près je peux qualifier de bureau de secrétaire. Qu'elle y aille moi, je veux voir autre chose. Je me dirige vers la grande porte principal et regarde à l'extérieur. C'est une grande porte, qui se séparait d'un autre endroit, dehords, un parking immense sans fin se montrait. Ma respiration se coupe, je connais ses lieux de loins. Je l'ai observer hier soir même. Pas loin je reconnais le super marché.

Bordel ... on est dans l'hôpital qu'on vient de rénover ! M'exclamais-je à bout de souffle. A quoi bon être dans un hosto si je suis en bonne santée. Je me retourne vers ... l'autre fille, voir sa réaction. Je crois que tout comme moi, jamais elle n'aurait pensée ce retrouver dans un tel lieux, encore moins celui proche de la fête. Finalement cette fête, je me demande si il n'y avait pas quelque chose de cacher en dessous.

Je n'avais plus prêtais attention à l'autre eprsonne avec moi, ruée en avant, j'essayais d'ouvrir une lettre, puis deux, toujours le même contenu, la même présentation.... Un nom et un prénom sur l'enveloppe, une adresse, pas de destinataire, une écriture minutieuse, noire... Je n'avais pas besoin de l'ouvrir pour savoir ce qu'elle contenait, aprés tout j'avais ressus une lettre comme ça moi aussi, il serait étonnant d'ailleurs que j'en trouve pas une copie parmis ce gros tas, celle que je tiens est au nom d'un certain Andrew James, l'autre , celle que j'avais reposé était à celui d'une Lyra Young,se pouvait-il que ce soit elle ?

Je jetta un coup d'oeil à la fille et alors que j'allais lui demander s'il s'agissait bien d'elle, elle lança sa constatation. Ainsi nous étions dans l'hopital rénové, je tremblai légerment, cela corborer à ma thése... Le coup monté. J'avançais vers elle, tenant toujours la lettre dans ma main. Mes pas étaient calmes, il ne m'avait as fallu longtemps pour retrouver mon sang-froid, je n'étais jamais habituer à avoir peur ou souffrir et pourtant je savais (aprés passer le premier sursaut de peur) rester de marbre, même quand la situation paraissait désespérer.

Je me pencha à mon tour par la fênetre, déposa ma main libre sur le carreau comme pour caresser le ciel bleu que je voais au dela, avec cette désagréable impression d'enfermement.

Il parait évident que la fête où nous étions avait pour seul but de nous reunir et nous enemner ici...

Ma voix était douce, calme, quelque peu nasillarde, mais elle ne tremblait pas, c'était déjà ça. Je lui tendit la lettre type qui avait été envoyé à tout les fêtards.

Lyra, c'est ça ? Il y a une copie de ta lettre sur le bureau...

Je regarde dehord, et je me dis que merde, je suis dans un taudis. Je suis dans quelque chose de neuf, qui est censé sauver des vie, mais voila, elle nous enfermait. Mon coeur bat à nouveau à vive allure, pourquoi suis-je ici ? La fille vient à mes côtés, je ne sais pas quoi dire, elle pause sa main sur le verre. Le verre doit être froid, et lisse, en faite je le sais, j'avais la main poster dessus il y à a peine dix secondes. Je l'avais juste retiré parce que je ne supporte pas l'idée d'être enfermer. Je ne réagis pas à comment la fille connait mon prénom. Après tout elle à dût l'entendre dans la fête non ? Son ton est pour une fois sincère, cela m'étonne mais ça arrange largement les choses. Le problème est moins vaste quand on se retrouve avec des gens sincère. Après tout se sont les faux-cul qui font que tous ce brise dans une bande, enfin c'est ce que je penses.

Mais un mot vibre dans mon esprit, je penches ma tête dans ce que tiens la brune dans ses mains. Une lettre couleur bille, était dans sa main, son nom & prénom, écrit dans un noir chine en italique était dessus. Je pris doucement la lettre & l'observa au rayon du soleil. Je me souviens que lorsque je l'avais ouverte pour la première fois, Nicolas ce tenait là, près de moi. Il lisait l'envellope avec moi, souriant. A ce moment il m'avait chuchotter "Va Lili, ce n'est pas une soirée loin de moi qui va faire que je vais mourir demain". J'ai suivis son conseil, mais je me rend compte que maintenant j'ai eu tord. Je me retiens d'hurler contre la Terre. Il m'ont enlever mon frère, je suis tombée dans un piège débile. Qui en avait après moi ? Pourquoi je suis là. Là maintenant , je suis en colère, je n'ai pas peur, je veux tuer celui qui à fait que je suis là. Je froisse la lettre en la serrant de toute mes forces dans ma main gauche, & finalement, pour calmer se tourbillon de colère venant en moi, je frappe contre la vitre d'entré. UN entend un grand "boum", la vitre doublée ne se brise pas. Mais ma force est tel qu'elle se fissura tout au long. Une douleur vient alors dans ma main droite, un liquide chaud se fait sentir sur mes phalange, mais j'en ai que faire. Je souffle un bon coup et me retourne vers la fille face à moi. Mes yeux vert brillent d'une détermination hors du commun, je le sais, ils brulent de vengence. Cela apprendra à ceux qui dirigent tout ceci qu'il ne faut jamais, m'enlever mon petit frère.

Ils veulent jouer à un jeu, ils ne joueront pas longtemps, j'te jure ! Répliquais-je d'un ton étrangement calme, tandis que ma voix vibre par la colère. Je ne me laisserais pas abbatre. Alors je me dirige à grand pas vers les bureaux. Si il y avait ma lettre, il y avait aussi toutes les autres lettres de ceux qui sont comme elle & moi. Nous ne sommes pas que toutes les deux, je suis sure que d'autres vont se réveiller & venir à nous. Ils nous ont réuni pour un but précis, lequel je ne le sais pas, & ne veux pas le savoir. Je suis breve, rapide, je veux sortir d'ici, & maintenant je trouverais tout les moyens, ils nous faut juste de l'aide.

Je sursauta quand Lyra donna un coup dans la vitre, j'aais comme présentis ce qu'il allait arriver, bien sur la vitre de se brisa pas... Nous étions prisent au piége dans un endroit incnnu et à des fins inconnues... Les mêmes questions me venaient en tête, pourquoi, où, comment, quand, elles me martelaient le crânes comme une chanson entendue trop souvent . Au début de le volume de cette lituaie infernale occupait tout mon esprit mais maintenant ce n'était plus qu'un bruit sourd. J'avais l'esprit claire. Contrairement à d'autre, je n'avais personne qui m'attendait dehors, personne pour se soucier de moi, peut-être étais ce pour ça que je ne ressentais aucune tristesse d'être enfermé, j'étais calme. Bien sur autant qu'on pouvait l'être quand on se retrouvait pris au piége par une personne ou organisation inconnu, c'est à dire quasiement rien, mais j'étais calme.
Si je voulus regarder la main de ma camarade de fortune, je ne fis aucun geste pour ... nous ne nous connaissions pas réellement et je n'avais pas pour l'habitude de me soucier des autres .

Quand elle me jura que nous sortiron d'ici, je ne la cru qu'a demi. Ne doutant pas de sa promesse, mais plutot de la tenue de cette promesse, qu'importe la personne ou son but qui était derriére cela, il ou elle était trés bien organisé, et de toute évidence équipé... je n'étais pas certaine que nous puissions gagner.

Je jetai un regard à la vitre légement feulée, non, nous ne ganerons pas... Nous avions largement 10 coups de retads, comment gagner ?

Il faut retrouver les autres, qu'on se regroupe. A plusieurs nous serons plus fort pour faire face....

Je parlais d'une voix calme, forte, déterminé. Cela fessait partis de mes quelques qualités, je savais garder mon sang-froid et prendre des décisions, personne ne le fessait jamais pour moi.

Je me dirige vers le bureau où la miss c'était diriger, j'ai envie de l'appeller la miss, ne me demander pas pourquoi, c'est toujours comme ça avec moi. Mon sang coule le long de ma main pour se fracasser contre le sol, avec un petit tintement, je n'ai pas mal. La douleur physique me fait plus grand chose depuis bien longtemps. Surement mon entrainement avec le temps qui m'aide encore à l'heure d'aujourd'hui. Bon je reconnais que fair edes big baston n'était pas une très bonne solutions à l'époque, mais aujourd'hui cela se rend utile. La douleur je ne la craint pas, & je peux me rendre compte de la force de vitre, si il faut que je l'ouvre, il me faut un flingue, mais qui me dit que la vitre derrière encore n'est pas parballe ?

Je me retourne assez rapidement vers la fille en derrière moi, je l'écoute attentivement, mes yeux brillent à chacun de ses phrases, mettant en tout mon cerveau à grande reflexion. Je me demande pourquoi elle est ici, moi aussi, & les autres. Combien sommes nous, allons nous reveillez tous à la même allure ? Je penses que non, ils vont nous rajoutez tous un à un dans se guettapant. Qui pouvait avoir assez d'argent pour posseder un matériel aussi perfectionner pour pouvoir renover un hosto, & organiser une tel fête. Nous n'avions pas affaire à n'importe qui, & des caméras doivent sûrement nous observer.

Tu as raisons, répliquai-je d'un ton calme, je n'avais aucune difficulter à reconnaitres les qualités des autres, pour le moment la réponse à la question pourquoi ? viendra plus tard, & je sais qu'un moment où un autre il l'aura. En se moment si sa se trouve d'autre se reveille, il faut aller les cherchers. Il faut partir à la recherche des autres. Mais par où commencer ?

Je jaugeai l'espace autour de moi, il devait bien faire plus de 800 métres carrés, et ce n'était qu'une piéce, la tâce allait être longue et fastidieuse, pourtant il était claire qu'elle sembait nécessaire à notre survie... Car oui nous avions passé le cape de la peur, sele la survie comptait, jen'avais pas l'habitude d'abandonner, je ne le ferrais certes pas aujourd'hui, même si mon épaule me fessait mal, ma tête bourdonnante, je n'abandonnerait pas et n'irai pas me réfugier sous ma couette qui n'était d'ailleurs pas réellement la mienne.

Se séparer nous permetterait de couvrir plus de terrain, malheureusement il me semble que cela ne serait pa prudent...

Soufflais je en reportant mon regard sur celui trés intence de Lyra, finalement elle n'était plus une ennemie. Il était étrange de songer que je devais cohabiter et coopérer avec cette fille méprisante de lafête pour survivre, étrange, mais aprés tout la survie poussait à tout.

Je penses que nous devrions commençer par prendre l'escalier de gauche, pour finir par celui de droite, nous procéderions ainsi par zone et par étape... Par contre...

Oui il y avait un par contre, nous n'avions ni arme, ni Gps, je n'étais pas une pro des mission commando et je trouvais cela toujours ridicule mais il fallait se rendre à l'évidence nous étions sans défence.

Nous sommes sans défence...

Je regarde la salle 8oomètre carrée, voir 9oo mètres avec la hauteur du plafond. J'évolue un peu, regarde les panneaux. Oui je sais, je suis sans defense, je sais me battre à main nue, mais si je tombe face à quelqu'un qui possède une arme, je ne suis pas sur du tout de m'en sortir idem. Dans un hôpital, où trouver une arme. Je regarde un moment la fille en face de moi. Finalement une idée me vient assea rapidement.Il faut que je réfléchisse, à ce que je sais. Je sais que la fille en face de moi, doit se montrer bonne en tactique, & d'un sang froid hors norme. Son instint de survie ma l'air tout aussi dévelloper que le mien, ce qui m'ai d'une grande aide. Je suis une combattant hors norme, & ma main droite même blesser peut tenir une arme en la manipulant sans grand problème. J'ai par contre un sens de l'orientation assez hors norme, enfin, je sais me repéré dans les hôpitaux, mon frère y va souvent, à force ils ont toujours une structure assez semblable.

Cet hôpital, se sépare en quatres partie, et si on regarde bien les panneaux qui nous sont indiqué à chacun d'eux, correspond à un endroit. La partie Nord je dirais, je montre du doigts, l'opposé de nous, doit être les bloc opératoires, je me retourne vers la demoiselle, là dedans, il doit y avoir des scalpelles, et autres armes tranchante, je ne dis pas que si je me fais attaqué par un flingue je pourrais tous les tué, mais il me suffit d'en blesser un avec, de prendre son arme, & je suis hapte à défendre. Expliquais-je, après tout, je ne suis pas une pro du combat pour rien, j'ai ça dans le sang, mon père c'est acharné des heures & des heures pour pouvoir apprendre à me défendre, aujourd'hui se sera la pratique qui va prouver si j'ai bien écouté les leçons. SInon, je penses que là où sont les autres personnes, c'est dans la partie Est, je montre l'escalier de verre montant sur notre droite, là-bas sont les salles de repos, & c'est de là d'où on vient, je penses que tout les reveilles vont se passer par là.

Finalement quand je l'écoutais parler je remercier le ciel ou quelque chose du même genre de m'avoir mis avec cette fille qui au prime abord ne m'avait pourtant rien inspirer de bon... Il était évident qu'elle savait se repérer et combattre, cela se sentait dans sa maniére de parler, d'exposer les faits sans trembler. Moi je n'avais pas un grand sens du combat mais j'étais certaine qu'une fois mise face au anger je serais capable de me défendre, d'agir, d'être capable d'assurer ma sécurité, la notre... Devrais-je dire. Car maintenant il n'était plus question de se montrer individualiste, je devais agir pour le plus grand nombre pour pouvoir à mon tour m'en sortir. Nous devions être souder pour gagner.

Commençons par s'armer. Je ne sais pas si je saurais gagner un combats au corps à corps, mais serais plus utile avec un scapel que mes simples ongles.

Avouais-je avec un semblant de sourire.

Je pense que de toute façon nous ne sommes pas aux mains de tueurs sanguinaires....

De cela j'en était aussi certaine que du faite que j'étais Katie Scarlett O'Denell.

Au quel cas, ils n'auraient pas prit la peine de nous garder en vie jusqu'ici...

J'étais également certaine que nous n'ayons pas à faire à une seule personne mais bien plusieurs diriger peut-être par une entité, la raison était simple, personne ne disposait d'autant de moyens... Et puis qui aurait l'idée d'enfermer des jeunes ?

Ils nous laisserons parcurir le lieux sans broncher, il doit être couvert de caméra en tout genre, et de systhéme de sécurité, encore une fois s'ils avaient voulus nous garder cantonner, ils l'auraient fait dés le début dans les chambres.

J'approuve tout ce qu'elle disait. Elle avait beau avoir l'air friqué, habillé comme une sainte ni-touche cette fille ne machait pas ses mots, & savait parfaitement ce qu'elle disait. C'était une chose que j'apprécie. & je le montre par les mouvements de tête d'accord. Moi aussi je penses tout ce qu'elle à dit. En face de nous, nous avons une unité, mais une unité qui veut quelque chose de précit sur nous. Quoi ? Quel est notre role en commun ? Je n'en sait rien. Une chose est sur, ils nous veulent en vie. Dans quel état ? Je ne sais pas.

Nos code barres à l'épaules doient leurs permettres de nous reconnaitres. Expliquais-je doucement à l'inconnu maintenant assez connu, Ils doivent avoir nos capacité, & ceux à la fête. Je commence à mon tour à réfléchir, je lui fait un signe de tête pour lui dire qu'on se dirige vers les parties des bloc opératoires, je penses que l'on va tomber sur le bloc des urgences en 1er, il y a pas mal de chose dans cela en général. Je me retourne un moment vers la jeune fille me stopant dans ma marche. Je l'observe un moment. Finalement, je l'apprécie quand elle ne joue pas sa chauffeuse & sa friqué, j'aime quand elle est sincère. Je lui tend la main, les yeux vert défiant. Je m'appelle Lyra Young, je ne sais pas dans quel taudis on est tombé, mais finalement, je le reconnais, je suis contente de pouvoir faire équipe avec toi. Je sais elle connais déjà mon prénom, mais je ne connais toujours pas le siens, & si on doit faire équipe, autant que je le connaisse. Bon j'espère juste que je vais retenir son prénom du 1er coup.

Nos capacités...

Répétais-je à voix haute en essayant de chercher quelles pouvait être la mienne. Une capacité, non franchement ils devaient faire erreurs, quique ce soit devait faire erreur. Je soupirai en posant ma main gauche sur mon épaule, comme pour vérifier la présence de cette chose qui me marquait comme une bête que l'on conduit à l'abattoire.

Je suis également contente de ne pas être tomber sur une incapable...

Répondis-je du tac ou tac en lui tendant la main moi aussi, ce n'était pas quelque chose que j'avais pour habitude de faire mais je savais que c'était montrer que j'étais sincére.

Scarlett O'Denell.

Je fis un sourire à Scarlett un moment, puis finalement retira doucement sa main, de celle si douce & chaude de la mademoiselle, enfin surement madame. En faite je n'en sais rien, notre passé, n'a pas quoi que se soit en commun, enfin je crois. UNe chose est sur, son nom sonne belle & bien bourge. Finalement je la regarde dans les yeux, mes pupilles vertes plongeant dans les siennes.

Allons chercher de quoi nous proteger, & explorons les chambres miss O'Denell ! Répliquais-je d'un ton assez amusé. Bien que je ne sais pourquoi, un loup nous regarde, un loup observe tous nos mouvement, en se moment même je crois que nous sommes déjà testé ! Mais je préfère garder cette impression pour moi , je ne le dirais à ma camarade que lorsque je serais sûre d'être hors porté pour les oreilles indiscrettes.

[Nous allons voir les beaux gosse ? xD]

[yeah :! Let's go !,]

Appel moi simplement Scarlett si tu le veux bien...

Depuis la mort de maman et la conduite de mes soeurs qui avaient enfermées papa à l'asils, je n'étais plus trés fiére de mon nom, O'Denell, non je n'en étais plus une.... D'ailleurs officielement j'étais Madame Hamilton. Mais c'était sans doute encore pire que mon vraie nom.

Je suppose que nous devons avoir quelque chose en commun...

Je n'en étais pas certaine, à premiére vus, cette fille venait d'un milieu différant du mien, avait des prédisposition tout aussi différentes... Pourtant nous devions avoir quelque chose en commun. Un tueur, ou n'importe quel kidnapeur, n'enlevait pas des gens sans suivre un profil précis.

Ils doivent suivre un profil...

Je la regard un moment, elle semble plonger dans ses pensées, si triste & mélancolique, qui ne durent que trente seconde. MAis je le sais que trente secondes suffisent pour pouvoir nous tuer. Je ne fit comme si de rien n'était. Je sais à quel point la fierté était importante, pour elle tout comme pour moi. J'écoute ce qu'elle dit, un moment, je ne penses pas que nous aillons quoi que se soit en commun, en dehord d'un caractère hors norme. Peut être qu'en temps normal même nous ne nous serions jamais entendu, mais aujourd'hui, la situation est bien différente. Je ne préfère pas parler à voix haute, je garde tout pour moi, j'examine un peu, mais finalement je ne sais pas quoi répondre réelement. Comme toute réponse je me dirige vers les blocs opératoires, où je rentrerais sûrement dans la 1er salle d'opération, je prendrais des bandage pour ma main droite, & un scalpelle pour trancher les veines où la gorge à n'importe qu'elle personne qui me menace. Après que l'on soit armé toute les deux, je penses emporter des armes dans un sac, si on trouve d'autre personne qui sont victimes comme nous, ils pourronts se défendres à leurs tour. Je respire un grand coup. Il nous faut absolument un groupe plus grand pour qu'on puisse tous se sortir de là.

[Qui post en 1er ? Toi or me dans leurs sujets ? ^^]

Je tachais de me rendre utile en cherchant un sac pour transporter nos armes de fortunes, j'avais compris qu'il nous en faudrait le plus possible... Ne trouvant rien suceptible de faire l'affaire, je pris une poubelle à demi pleine, que je vida sur le carrelague, avant de la poser sur une table d'oppération, je frissonai, n'espérant jamais à me trouver sur cette table...

Je n'étais pas une grande fana des picure ni de tout ce domaine médicale qui me fichait les jetons, alors imaginer ce qu'on pourrait me faire là, sur cette table, il y avait de quoi ébranler ma forçe...

J'entrepris de fouiller les différents tirroirs, attrapant scapels, alcool à brulé et autre ustancils qui ne seraient peut-être pas utiles pour se défendre contre des armes ou des combattants mais qui permetterait de soigner... Aprés tout nous ne savions rien.

Je regarde la salle, je frissonne un peu, en même temps qui ne frissonne pas dans une tel salle. Je m'avance doucement vers les différent placar, les soulèves, sort tout ce qu'il y a dedans. Au passage, je trouve celui avec les bandage, alors j'en prend un, je m'appuie contre le mur, et arrive avec une maladresse inouie à me faire un bandage à ma main, qui par oh grand miracle tiens. Bien sur au passage, quelques grimaces s'échapèrent de mes lèvres, je penses qu'il y a une petite fissures dans une de mes phalangue, mais sa se réparera vite ... j'espère, je n'ai pas besoins d'un handicape dans une tel situation. Quel idée d'avoir frappé dans une vitre aussi ... résistante ! Mais je ne savais pas, je m'en doutais juste qu'elle était résistante. Je regarde Scarlett qui à prit une poubelle, regroupant déjà scalpelle, & autres produits, qui me paraisse à mes yeux assez utiles. J'en prend un pour voir, ils ont l'air coupant, mais la lame est fine, elle pourrait se casser rapidement malgrés son tranchant hors norme, je me dirige vers un autre tiroire je ne vois pas quoi que se soit qui peut être plus résistant pour le moment. Surement que dans les cuisines je trouverais mon affaire pour les armes blanches. Je me retourne vers Scarlett, mes cheveux brun suivant le mouvement. On va chercher les autres ? Si il y en a bien sur, mais je n'avais pas envie de préciser cette pensée en moi.

On y va...

Murmurais-je sas la regarder, non que je sois insensible à sa blessure, non, j'avais juste une répugnance affreuse pour e sang, la moindre goutte, la moindre blessure pouvait me faire tourner de l'oeil et honnetement je ne penses pas qu'un mal-aise soit vraiment une bonne chose en ce moment...

Attrapant des deux mains les bords de la poubelle qui me servait de sac de fortune, je prenais la porte de sortie, revenant dans ce hall si effrayant, non plutot inquiétant, jamais la désagréable impression d'être un rat de laboratoire, et malheureusement je sentais bien que c'était sans doute le cas, mais je n'en pipa mot. A quoi cela aurait-il servit, de faire part à Lyra de ma sensation de suivit ?

Retournant sur nos pas, je pris la direction des escaliers que j'avais au préalable dévalé, cette fois ci je les remontais lentements, regardant bien tout autour de moi, quettant un ennemi.... D'ailleurs j'avais déjà attrapé un scapel, au cas où...

Mes pas se répercutaient sur le carellage, j'avais l'impression que leurs echos étaient beaucoup mais vraiment beaucoup trop bruyant, foutus chaussures à talons, magnifiques mais pas pratique. Je me baissai , me tenant à la rembarde pour retirer mes Chanels rouges et les laissers là, la coquetterie, n'était pas de mise.