Quand l'enfer se tient sous nos yeux.

"Mais trois nuits par semaine
C'est ça contre ma peau,
& Je suis avec elle.
Mais trois nuits pas semaine.
..."

Je sais, cette chanson n'est pas là plus classe que vous connaissez, mais reconnaissez que sans elle, ce n'est pas une vrai soirée qu'on à. Après tout j'ai 2o ans, & cette musique, ils nous là faut absolument à nous les "vieux" pour faire une bonne soirée. Il faut toujours un minimum d'Indochine & de Telephone. Ce sont des vieux tubes qui font dancer tout le monde. & j'en ai encore eu la preuve hier soir à ma soirée. Tout le monde avait criée quand ils avaient entendu le debut de mélodie. Normal, les paroles n'étaient inconnu à personnes. Comment resister au tempo & l'ambiance que tout le monde met. Le DJ stop la musique, les danceurs crient les paroles. Il remmet le son, mais les danceurs ont toujours de la voix, alors ils hurlents les paroles en même temps que les enceintes hors norme.

Hors norme, voila commence qualifier cette soirée, donc je dois avouer que pour le moment j'ai pas mal de mal à me souvenir dans mes rêves. Non en faite là je suis entre le rêve & la réalité. Mais une chose me gène. Le froid, & un petit mal de tête. Surement l'effet de ma deuxième grosse cuite. Qu'elle idée d'avoir but autant. Je detestes pourtant cette idée de boire, mais je me suis laisser emporter -pour une fois- par l'ambiance & à but comme un pauvre alcoolo. Je décide alors de sortir de cette transe & me rend compte que tout d'un coup, mon lit deux places avaient bien rétrécie au touché. Depuis quand je me sentais à l'étroit dedans ? Je veux un moment poser ma main sur le côté, & je sens le vide. J'ouvres alors les yeux, la lumière se fait trop violente, mon mal de tête augemente, mes pupilles se rétrécissent, je le sens. Mon odeur d'alcool remonte. Mince je me suis donc pas brosser les dents hier soir ? Je me souviens même pas si je suis rentré chez moi où non. Ce qui explique sûrement aussi le faite, que je me sentes pas dans mon lit. Mon bras recouvre mes yeux. Mais je me décide de quand même affronter la lumière du jour pour pouvoir observer l'endroit où je suis.

& Je m'attendais à tout, tout sauf à me retrouve dans une chambre d'urgence d'un hôpital, dont je sais où il est placé, encore inconnu au bataillon. Il faut dire aussi que dans un pays étranger, je ne visite pas franchement les hôpitaux. Ma respiration se coup sous l'effet de la surprise, je me tatone un peu à droite à gauche, pour voir où je suis blesser afin de comprendre pourquoi je suis urgence. En passant ma main gauche sur mon épaule droite, une douleur vient tel un éclaire me frapper. Je soulève alors mon t-shirt & perçoit un code barre. Mes yeux s'ouvrent horrifier. Comment je me suis fais ça ? Je me soulève tout d'un coup, par l'effet de surprise, qui ce fait vite ratraper par le tournis de l'alcool. Je me tiens au mur un moment, & perçoit un lit où les rideaux sont fermés. Je m'avance prudement, si sa se trouve, il y à un fou dangereux là dedans. Mais mon instint, me dit qu'il faut que j'aille voir, on ne sait jamais.

La peur est autant une réaction subjective qu'un outil d'adaptation

La peur, sentiment au combien oppressant, dérangeant, il vous fait étouffer de l'interieur, remet en cause out ce que vous pensez connaitre, percevoir, savoir, vous n'êtes plus rien face à la peur, vous n'êtes qu'un pantin. Le cerveau 'engoudit, bantant tout d'un coup trop fort pour votre tête, un martelement connue, bruyant qui étourdie, le sang devient trop chaud, les muscles se tendent comme prévoyant d'un effort à venir. Le systhéme nerveau s'accélére, les yeux s'aggrandissent, la respiration s'accélérent, les sens s'aiguisent...

C'est scientifique tout ça, je le maitrise. Je connais tout les rouages du corps umains, tout les mécanismes qui me composent, je reconnais l'insinuation de la peur qui se fait lentement en moi alors que j'ouvre les paupiére et que je constate cette lumiére trop forte, ces dalles blanches légerment grisés au sol, et ce plafond beaucoup trop claire. L'odeur qui m'entoure est dérangeante, lascinante je ne suis pas chez moi.

Je me suis déjà retrouvé dans des situations dérangeantes, appeurantes, mais jamais, non jamais il me semble avoir eu a faire à ce cas de figure, j'étais pétrifié sur un lit inconnu, dans un endoit inconnu, protgé par un rideau d'hopital, (le lieu ne m'étais plus inconnu depuis l'odeur a vraie dire) derriére lequel je percevais des bruit des pas et des grognements... Je n'étais pas seul et c'était ceci qui me pétrifiais. Etais ce une mauvaise blague ?

De la soirée d'hier je ne garde en mémoire que la déception de ne pas l'avoir vue, il y avait beaucoup e fille, mais elle n'y était pas... J'avais voulus alors partir, mais je m'étais laissé absorber dans la comtemplation de cette fille tellement belle qui attirait toute une cour de soupirant, je l'avais alors étudié, apprenant à décoder ses techniques, purement scientifique en faite... Mais quand elle m'avait vu et fait un signe, me décochant une oeillade, j'avais rougis et je m'étais enfuis. Malheureusement il semblait que je n'étais pas rentré, que je n'étais pas à l'abris.

Je m'inquiète un peu, pourquoi ? Parce que je me demande ce que peut avoir dans ce lit. Vous savez dans les urgences, il n'y à pas franchement que des cas jolie jolie ! Mais mon devoir de futur médecin, me dit d'ouvrir se fichu rideau blanc en plastique pour voir si la personne derrière se sent en bonne santé. Je sais, nous sommes dans une situation totalement loufoque, je ne sais pas où je suis, & il n'y à aucune inféirmière présentent en se moment pour notre réveille, ce que je trouve assez irresponsable. Je touche le rideau en plastique, il est froid & fluide. Derrière une respiration, se fait en accéléré, quelqu'un craignait, où disont que la peur entrait en lui. Qui n'aurait pas peur de se retrouver dans un lit d'hosto quand on ne connait pas trop un tel lieu.

Moi je n'ai pas franchement peur, en faite, je crois que je m'empeche d'avoir peur. Après tout il y a toujours réponses à tout. J'ouvre doucement le rideau, et apperçoit un jeune garçon. Il à l'air plus jeune que moi j'en suis sure. & aucune blessures n'a l'air de parraitre sur son corps, tout comme moi. Je le regarde gentillement, fait un sourire rassurant.
Ne t'inquiète pas, je ne suis pas là pour manger qui que se soit. Expliquais-je d'un ton doux & rassurant. Etonnant pour un homme me direz vous ? Non pas franchement, je suis doux de nature après tout. Je m'appelle Luca & toi ?

Quand une main avit aggripée mon rideau pour le tirer, j'étais resté tapis sur mon lit, je détestais ma faiblesse, mon manque de courage.... J'étais toujours celui qu'on tappait, celui qu'on brimait, jamais je n'étais le maillon fort, le dominant, c'est peut-être une question de génétique ou de caractér, peut-être même de karma, mais le fait est là, je suis un peureux. Et j'ai beau me martele l'esprit, me dire que je suis ridicule, je reste là à trembler comme un gosse et en même n'est ce pas ce que je suis ? Un enfant au cerveau trop grand ? Je n'ai que 16 ans, j'aurais tellement voulu me réfugier chez moi, à l'abris, chez ma mére....

Les yeux hagard, je regarde le propriétaire de la main. Il semble légerment plus vieux que moi, la 20° peut-être, il est grand, beau, le genre que toutes les filles qualifieraient d'interressant, tout le contraire de moi même en sommes, même si j'ai moi aussi de beaux yeux bleus, encore une fois tout est dans l'assurance, et malheureusement pour moi j'en ai aucune...

Enfin je suis là à me comparer à un Dieu grec de maniére tout à fait puérile, alors que si cela se trouve ce mec va finir par me sauter à la gorge pour me tuer ou me filer une dose de morphine pour se livrer à des expériences médicales douteuses au niveau déonthologique.

D'ailleurs quand je le regarde bien, il a l'air d'un médecin, j'y reconnais le même visage compatissant que j'ai vu une fois sur le doubib qui avait apprit à maman que grand-mére avait un cancer incurrable et qu'elle en avait plu que pour deux mois... Exactement le même sourie rassurant, compatissant... Allais-je crever moi aussi ? Etais ce pour cela que j'étais ici dans cet hosto ?

Je soupirai me rallongeant dans mon lit. Je ne voyais plus le médecin (ainsi le voila devenu titulaire d'un diplome de médecine dans mon esprit).

Je m'appel Andrew. Est ce que je vais mourir ? C'est pour cela que je suis ici ?

Et oui c'était sans doute pathétique, mais je flippe, j'ai le droit de flipper, je n'ai que 16 ans (et encore depuis 1 mois seulement) et ce mec est sans doute à pour me faire comprendre en douceur que la fin est proche, a moins j'ai la consolation de me dire que j'ai passé ma premiére soirée hier.

Il m'observe un long moment, je ne sais pas quoi dire, je sais qu'il à peur, ses pupilles sont grande, ses yeux paniqué, un petit tremblement dans ses bras, à peine lisible, se fait percevoir. Ce jeune homme avait un regard d'ange, des yeux azure profond qui devait faire tomber toutes les filles de son age. J'estime qu'il à 16ans à peu près, bien qu'il à une taille impressionnante pour son age. Mais des signe physique ne trompe pas, tel que la pillosité au niveau du menton qui n'est pas franchement flagrante. Par contre c'est un chanceux, il n'a pas beaucoup d'acné. Je le regard un moment & perçois des bleu tout le long de ses bras, ils avaient été frappé, par qui & pourquoi ? Durant la fete ... d'ailleurs fait-il partie de la fête ? Je ne l'ai pas remarquer. Tout d'un coup à travers son t-shirt blanc je remarque sur son épaule droite une sorte de tache noir sur sa peau. Pour le moment je n'y fais pas attention, mais cela m'intrigue un peu.

Je passe ma main dans mes cheveux, quand il me demande si il va mourir, là sincèrement, il à l'air en bonne santée, en dehord des bleus qu'il à a droite à gauche, mais je n'ai pas le droit de prononcer n'importe quel jugement après tout si sa se trouve il est urgence pour une raison bien précise, contrairement à moi qui suit là surement pour une petite chute à deux balle lors de la fête. J'ai un sourire amusé qui vient sur mes lèvres, ais-je l'air d'avoir 30 ans ? Non car ça c'est l'âge des médecins les plus jeunes. Si je fais plus vieux, va absolument que je fasse un lifting comme les filles... vous croyez que c'est utiles ? Finalement je décide de parler gentillement, je n'ai pas envie de paniqué plus que ça le jeune homme par mon long silence.

Enchanté Andrew, le saluais-je d'un ton sincère, je ne sais pas pourquoi mais ce petit jeune homme donne envie d'être prit sous une aile protectrice ... sauf que je n'ai pas envie de le proteger pour le moment, je ne sais pas si tu vas mourir, si tu veux mon avie, non, à moins que tu caches une maladie grave en toi, mais bon je ne suis pas médecin, donc je ne peux pas prononcer de jugement. Je viens de réveiller, je suis un patient aussi. Expliquais-je d'un ton tranquille, moi je penses que j'ai fais une mauvaise chute lors d'une fête assez ... spéctaculaire, & que je me suis retrouver ici. Je préfère lui dire tranquillement tout ce qui m'est arrivé en supposant bien entendu.

Durant le silence qui s'était abattu, j'avais gardé les yeux fixé sur le plafond, essayant de me souvenir de la fête, j'étais partit assez tot, déçu de ne pas avoir apperçu ma Sophie, ah Sophie comme son sourire me manquait, ses yeux bleu, ses longs cheveux roux.... Je soupirai presque sans le vouloir, la simple évocation de son être me rendait mélancolique...

Enfin je m'égard, je cherchais à savoir ce qui avait bien pus se passer, avais-je fais un mal-aise ? M'étais-je gogner ? M'étais-je fais agresser ? Je portai un regard machinale sur mon corps, étudiant mes bras, les bleus étaient normaux, ceux récoltés la semaine passée, en me redressant je ne ressentis aucune douleur, seule mon bras droit me tirait, tournant la tête en cette direction, louchant quasiement un peu j'étudiais mon épaule droite.

Pendant ce temps le garçon qui n'était pas médecin, me parlait de sa présence à une fête, d'une chute, je ne comprenais pas tout, mais apparement lui aussi avait du se trouver à la même soirée que moi...

Ah j'y étais à cette fête moi aussi...

Lançais-je machinalement, tout en essayant d'apperçevoir la tache sur mon épaule, un novueau bleue ? Gisticulant encore un peu, je reussis enfin à voir un code barre tatouer à l'ancre noir.

Oh putain c'est qui qui m'a fait ça ? Ma mére va me tuer...

Ma voix s'était étranglée, décidement il y avait des fois où un corps humain en mutation était gênant, là c'était le cas.

J'avais donc raison, à sa voix qui est passé du grave dans les aigue, le jeune homme en face de moi n'était qu'un simple ado. Il muait même. Etonnant que son corps soit pourtant si avancer pour sa taille, j'espère pour lui quand même que sa croissance ne sera pas trop grande quand même, parce que sortir de l'ordinaire physiquement, c'était jamais franchement facile. Je le regarde surprit, me demande ce que sa mère pourrait faire pour le tuer. Et j'apperçois le tatouage, un code barre. Finalement je me mets à cogiter, je ne suis pas sure d'être venu ici, pour un simple petit coup de tête. Et pour qu'on puisse avoir un code barre au même endroit, qu'on est participé à la même fête, je trouve que ça fait beaucoup de coincidence ... trop pour que se soit un jeu du destin, après tout, même si on avait été dans la même fête, je suis pas sure que lui comme moi on aurait eu la même idée taré de ce tatouer un code barre.

Je réfléchit à toute allure, ne trouve aucune réponse logique, une chose est sure, maintenant cette hôpital n'a rien de bon. Je ressens une pression sur mes épaules. Je regard le jeune Andrew en face de moi, je ne sais pas comment lui expliquer tout ce que je comprend à l'instant, mais un moment où un autre il saura la vérité, il n'a pas l'air d'être bête ce gosse. Je respire un grand coup, le regard.

J'ai moi aussi un tatouage avec un code barre. Expliquais-je d'un ton que je voulais calme, mais je réfléchissais à 1oo à l'heure, je sentais quelques choses clochait, depuis que je m'étais réveillé, & peut être que cette chose qui clochait était là bien avant mon réveille. Quelque chose m'a échappé.

Et je suppose que ce n'est pas voulut...

Je savais que c'était sans doute une question débile, enfin peut-être qu'aprés tout ce type n'était pas aussi gentil qu'il en avait l'air, peut-être qu'il jouait un jeu.... Je soupirai, las de me torturer toujours à chercher la petite bête, la mesquinerie de l'autre. Pour une fois mon instinct me soufflait que ce n'était pas lui le danger, mais bien plus l'endroit dans lequel nous nous trouvions. D'ailleurs depuis quand les chambres d'hopital avait des caméras ?

Je ne me souviens plus de la soirée d'hier à vraie dire, le départ surtout est flou. Je pense que nous ne sommes pas ici par hasard.
Je me levai, manquant de tomber, j'avais surestimer la capacité de mes jambes à me soutenir, mais heureusement je me retrapai à la rembart de mon lit, m'approchant de la caméra, j'étudiais sa capacité... Récente, hors prix.

J'écoute tranquillement le jeunot face à moi, je ne sais pas pourquoi, mais il me parrait à la fois innocent & surdouée. Je ne sais pas si ma première impression est franchement bonne où pas. Mais je sais une chose, il est perdu, tout autant que moi, & tout comme je l'ai fais il y a à peine 1o secondes, il commençait à rélféhcir, sur ces lieux, hors normes. Nous n'avions aucune blessures grave tout les deux, et moi encore moins. Les bleus qu'il porte au bras, me paraissent vieux de plusieurs jour, car une filet jaune se fait autour. Je ne peux m'empecher de l'observer apparement, surement mon envie de l'aider. Qui ne voudrait pas l'aider ? & je suis sure qu'une fille serait pire que moi. Je vois le hazard ne fait pas franchement partie de son dico à lui, un point en commun, je ne crois pas à la destiné, seul la science exacte est juste. Il voulus se lever, je me précipite en avant pour le ratrapé, mais Andrew à des reflexes, & il à sut se ratraper à la barre de son lit. Il est assez agile apparement, tant mieux pour lui, c'est une qualité bien précieuse qu'il faut garder aussi longtemps qu'on peut. Dire qu'a l'heure d'aujourd'hui des jeunes de 17ans, ne savent même plus toucher le bout de leurs pieds, & ils se plaignent après de maux de dos. Moi je n'ai qu'une chose à dire, musclé vous le dos & cessé d'être devant l'ordi. Je le vois qu'il observe quelque chose, alors à mon tour je m'approche du mur, & je perçois une mini caméra ... ça existe de tel caméra aussi minuscule ? Je reste stupéfait. Tu as une vue hors du commun, soufflais-je doucement en observation, qui moi même n'avait pas vu cette caméra. Mais finalement, je le sais maintenant, nous ne sommes pas dans un hopital normal, non les caméras comme ça dans les chambres ses interdits. De plus les infirmières auraient doivent venir plus souvent que toutes les demis-heures dans les chambres des urgences, & il y en a toujours une qui surveille. Y a un truc qui cloche ici ! Murmurais-je à mit voix, comme si il y avait aussi pas loin, un mini micro invisible à l'oeil nu ... où dut qu'on ne remarque pas encore pour le moment.